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Le sens de la liberté

Dans ta relation, tu places ta liberté là où elle n'est pas.

Tu penses qu'agir seul t'apporte la liberté.

Tu creuses des énergies de séparation là où tu penses te libérer.

Dans ce creuset séparateur, tu créés chez l'autre un émotionnel fort qui deviendra ta prison.

En sommes, tu créés ta propre prison émotionnelle quand tu ne tiens pas compte de l'autre.

Vivre libre ne veut rien dire, ta liberté né de votre force commune et tu t'escrimes à vouloir vivre de ton côté.

Chaque fois que tu peux aller dans son monde, tu œuvres à réunir vos deux mondes.

Chaque fois que tu refuses cela, tu t'exclues de l'amour.

Et c'est cela que tu ressens, tes blessures et tes peurs t'éloignent d'elle.

Nourrir le "nous", c'est prendre conscience que la relation est une d'abord une faille entre le monde du "je" et le monde de "l'autre" et que le "nous" n'est que le nombre de ponts que chacun accepte de construire au-dessus de cette faille.

Et que chaque fois que tu construis un pont vers elle, tu lui donnes de l'inspiration, de l'espace, de la force pour construire un pont vers toi.

L'accueillir dans ses blessures, c'est guérir les tiennes, car ne t'illusionnes pas, l'émotionnel sur lequel tu appuies, tu le porte en toi comme une blessure qui s'ouvre à chaque fois, ce sac à dos qu'elle porte, c'est toi même qui le porte.

Ce n'est pas parce que tu le regarde pas, qu'il n'existe pas.

La force de ton déni nourrit l'action de ton "je".

Ta peur c'est que le "je" se dissolve dans le "nous".

Mais tu ne connaîtra pas de paix sans tremper le "je" dans "l'autre", sans te révéler toi même au miroir des blessures.

La regarder en face, en homme, c'est regarder ses blessures, faire un passage en toi pour que ta reconnaissance te guérisse aussi.


(ce texte est un mélange de canalisation de l'espace de mon coeur et d'article rédigé)

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